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Au sud de Bahia, Corumbau et ses plages méritent bien son nom de bout de monde.Comparées parfois à celles de la Polynésie, les plages de l’état de Bahia, accessibles au départ de Salvador, déclinent à la perfection tourisme, tranquillité et écologie.


VERT BALNEAIRE

 

Au sud : Trancoso, Corumbau, Itacaré. Outre les jeunes crevettes de sa mangrove et les aras flamboyants de sa jungle tropicale, Trancoso, 725 km au sud de Salvador, abrite une espèce plutôt habituée à la lumière artificielle : les people.  De Robert De Niro à Steven Spielberg, de Naomi Campbell à la princesse Lalla Salma, tous sont tombés pour ce village typiquement bahianais qui, il y a 30 ans, vivait sans eau ni électricité. Si désormais les villas côtoient les casas de pêcheurs, elles s’inspirent de leur discrétion  rustique et se fondent à l’environnement. A l’ombre des manguiers, une ambiance très « gypset »( bohème chic) plane sur le Quadrado et ses façades acidulées. Cette esplanade verdoyante surplombant l’océan donne le pouls du village. Calmement plat à l’heure de la sieste, le rythme s’accélère en fin d’après midi autour d’un match de foot improvisé devant la petite église portugaise. Puis, le parfum alléchant du dendé s’échappe des échoppes, les lampions illuminent les terrasses et le son de la bossa monte : Trancoso bat son plein. On peine alors à quitter le refuge écolo-chic d’Uxua : 9 maisons restaurées au cœur d’un rêve végétal. Le véritable trésor de Trancoso reste néanmoins ses plages,des bijoux d’émeraude posés au pied de la falaise ocre, à l’ombre de la jungle. La première est à 10 minutes de marche, d’autres restent précieusement gardées par des kilomètres de piste.

Toujours plus au sud, une langue de sable de 15 km lape l’océan : Corumbau – « loin des soucis » en langage Pataxó – un autre secret que se soufflent baleines à bosses et pêcheurs de tranquillité. Un bout du monde bien mérité après quelques heures de piste ou de bateau. Plus proche de Salvador (400 km) : Itacaré. Ce village enfoui dans la forêt Atlantique et œuvrant pour sa protection, compte une quinzaine de plages  (Resende, Tirica, Hawaizinho…) vénérées par les surfeurs…entre autres.

 

Au large : Boipeba, Morro de Săo Paulo. 150 km au sud de Salvador, dans l’archipel protégé de Tinharé, l’île de  Boipeba est posée sur l’estuaire du fleuve de l’Enfer. Un nom sans doute destiné à dissuader les visiteurs de débarquer sur ce paradis pavé de plages vierges, langoustes et cocotiers. Même décor sur l’île voisine de Tinharé accessible en bateau depuis Salvador : Morro de Săo Paulo, une colline bordée de plages et de piscines naturelles, a d’abord attiré les pirates avant d’être prise d’assaut par les fêtards du monde entier.

 

Au nord : Praia do Forte– Ses14 km de sable blond, ponctués de piscines naturelles formées par le récif, attirent de septembre à mars des invités vip : les tortues marines. Ces nageuses tranquilles, venues pondre dans le sable farine, sont soutenues depuis près de 30 ans par le projet Tamar (tartarugas marinhas). Les membres de cette organisation –  souvent des pêcheurs reconvertis – veillent à la protection des lieux de ponte. Il est possible de suivre leur travail entre un cours de surf, une escapade à cheval dans la réserve de Sapiranga et une sortie en mer pour observer les baleines.

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